Les évènements publics de Mars 1371

Mars 1371

- Défilé à Ket et cérémonie du renouveau par Otto de Rourke
Un grand banquet rassemble les Ketois dans une ambiance festive.
L’armée se mêle amicalement à la foule, c’est son jour de gloire.
Le culte de Kossuth est omniprésent et effectue de nombreux prêches à succès.
Le survol de la foule par une démonstration aérienne d’un oiseau de feu géant en l’honneur du dieu du feu est un grand succès.
Néanmoins des tensions sont palpables entres les membres du conseil de Ket, la réunion qui s’annonce promet d’être crispée.

- L'Ambassadrice d’Impiltur est recherchée pour conspiration contre le peuple de Ket par le conseil à la demande des clergés de Chauntéa et de Lathandre.

- Démission de l’Ambassadrice d’Impiltur

- Grand conseil de Ket
L’ex-ambassadrice est jugée coupable de conspiration contre le peuple mais dispensée de peine. Elle est entachée du sceau de l’infamie et frôle l’exil.
Rédaction d’une constitution par le conseil :
Le pouvoir législatif est donné à une assemblée des corporations appelée chambre basse.
Le pouvoir exécutif est confié au chancelier de Ket
Le conseil de Ket devient la chambre haute chargé de valider la nomination du chancelier et la promulgation des lois.

- Manifestations de joie dans les rues de Ket en faveur de la nouvelle constitution que l’on appelle déjà « populaire ».

- Préparation d’un grand banquet offert par Lathandre en Barovia le val. A cette occasion, le culte de Lathandre compte faire repentance et demander pardon de ses crimes. Le culte de Kossuth se déclare attentif et sera présent.

- L’argent du feu se déverse sur le duché, après l’ouverture de quelques chapelles, de grands chantiers commencent à voir le jour, la construction de temple et de maison des braseros sont lancées dans les cités. De nombreuses corporations voient d’un bon œil leur carnet de commandes se remplir.

- Des incendies spontanés se déclarent dans la ville de Ket, le bailli est sur les dents car il reconnait une origine criminelle à ces incendies. Aucune victime n’est à déplorer mais les dégâts sont spectaculaires. Le chancelier suit l’affaire personnellement tant elle lui semble grave.

- Les prosélytes de Kossuth hurlent dans les rues que la main du dieu est sur Ket, il est encore temps de rejoindre les rangs de ceux qui vont triompher.
Les conversions à Kossuth se multiplient et de spectaculaires cérémonies d’intronisation ont lieu en pleine rue (en l’absence de lieu de culte). Les fidèles s’automutilent en plongeant leur bras dans des braises ardentes.

- Le clergé de Chauntéa s’oppose frontalement aux mutilations publiques et exige un apaisement de ses confrères de Kossuth. Mais ils sont pris à parti physiquement par des excités en cagoule rouge, le guet du bailli doit intervenir vigoureusement et emmène tout le monde au château de Ket.
Là encore aucune victime à part un bon paquet de bosses, mais la tension monte entre Kossuth et chauntéa, un culte pourtant fort paisible.

- La première réunion de l'assemblée des corporations est annoncée incessament.

- Kossuth s’affirme comme la force mobilisatrice dans la ville de Ket, d’impressionnantes descentes au flambeau ont lieu dans la ville, le règne du feu s’avance.
Une descente au flambeau


En pleine journée, les Kossites annoncent l'avance du règne du feu


A la nuit, une fête débridée devant un immense brasier

Alors que le mois de mars se terminait fraichement, le printemps se faisant attendre cette année, un évènement fait la une de toutes les tavernes de Ket : Un homme a été assassiné dans une ruelle !

Les meurtres, complètement inconnus jusqu'à l'an passé, concernent surtout les étrangers et restent très rare. Le guet de Ket de formation récente et entièrement composé d'étrangers ne plaisante pas avec la sécurité des Ketois.
On vois parfois des indélicats se faire entrainer dans la vieille douve du château de Ket, celle qui n'est pas comblée mais on ne les voient jamais en ressortir.

Donc voir le guet trainer un cadavre d'étranger n'est pas une découverte pour les Ketois, tout le monde s'enquérant bien sur de ce qu'il a fait. La réponse n'est jamais de nature à émouvoir fut-ce des Ketois, le monde au delà de Ket semblant, hélas, rempli de criminels.
Comme il s'agissait d'un cadavre de Ketois égorgé, cette fois-ci l'émotion était palpable dans la foule.

Le cadavre était particulier, blanc, terriblement blanc, vidé de son sang en fait. Et présentant une plaie béante à la gorge, par où le sang était visiblement sorti à flot !
Cet homme, un ouvrier tisserand, avait été égorgé à coup de dents et vidé de son sang !
Le mot circula comme une trainée de poudre: Un vampire !
Un vampire était présent dans la ville de Ket !

Le guet cependant s'emploie à rassurer les braves Ketois en disant que la créature a fuit la ville et qu'il n'y a plus de danger.
La comtesse Miriel confirme qu'il n'y a plus de vampire en ville.

Oui mais s'il revient ?
Une angoisse sourde s'installe en ville pour quelques temps. Désormais on évite de sortir seul le soir...
Alors que la saison des bals va commencer, quelle poisse pour Ket.